LA VOIX DU SILENCE


LE NON VERBAL

Un coaching sur mesure...

LA MATIÈRE

L’interprétation des mouvements du corps n’a de sens que si elle est déclinée en fonction des différents contextes vécus par l’individu. Sa démarche sera différente s’il se trouve dans un jardin public de celle qu’il imprimera à son corps dans un quartier à risque. Question d’adrénaline. Lors d’un échange ou d’une négociation, il est impératif dans le premier contact que l’esprit d’observation et le ressenti doivent être opérationnel avant de développer tout argumentaire. On ne réagit pas de la même manière selon les contextes et les lieux. Le comportement dans son travail ou avec une hiérarchie sera différent de celui avec ses amis même si on parle d’un même sujet. La gestuelle sera donc différente. La carapace  musculaire accompagne chacune de nos pensées,  de nos paroles  ou  de nos  gestes  en bien comme en mal. Pourquoi une attitude corporelle inappropriée offrirait­ elle une image qualifiante  à votre interlocuteur alors qu'elle entérine  la racine  d'une  souffrance musculaire future  ou ren­ force plus souvent  certaines douleurs profuses déjà existantes? Toute  situation  de  stress  trouve   automatiquement un  écho dans les chaînes  musculaires ou articulaires par  le truchement des postures d'auto protection, de  refus ou de rejet  dont nous abusons sans  cesse. Quand  l'esprit dit  non, le corps  en souffre. Les attitudes oppositionnelles sont  des  attitudes globales dont les effets  psychosomatiques se manifestent inévitablement  tôt ou tard.

LES AXES DU JEU ET DU SILENCE

LA posture

Il y a 7 expressions principales sont universelles, c’est à dire qu’elles seront perçues aux quatre coins du monde avec le même sens peu importe la culture. On compte parmi elles la joie, la tristesse, la colère, le mépris, le dégoût, la surprise et la peur.

Le langage non verbal et les gestes n’ont pas la même signification suivant l’atmosphère dans laquelle baigne l’individu observé.

Une gestuelle peu maîtrisée et insignifiante peut révéler des émotions que vous auriez préféré cacher, comme le stress ou la colère. Nous pouvons classifier ces signes para-linguistiques en 3 catégories : les gestes qui accompagnent, les gestes de conversations et les gestes qui illustrent le contexte.

LA gestuelle

La création d’une pensée est l’idéation. Chaque idéation trouve sa traduction dans les chaînes musculaires du corps humain et par conséquent dans la motricité de celui-ci. 

L’idéation et l’idéomotricité annoncent une fluctuation de l’attitude mentale et son attitude corporelle spontanée dans la gestuelle de tous les jours.

Chaque concept, chaque idée, chaque pensée consciente ou pré-consciente, chaque émotion ou sentiment, chaque image suggérée ou formée spontanément par le cerveau trouvera un écho musculaire dans l’une ou l’autre partie de du corps.


LA VOIX

Une intensité forte de la voix est souvent liée à des émotions vives comme la colère ou la joie et permet de souligner certains passages d’un discours.

Une intensité faible quant à elle, fait passer un message plus dramatique puisqu’elle correspond davantage à la tristesse, timidité ou la peur. Le ton de la voix en apprend d’avantage que les mots.

L’art de manier sa voix dépend de la projection, à utiliser des variations de tons et avoir une diction claire même en ayant un grand débit de parole.

Premièrement, la qualité vocale d’une personne est déterminée par son intensité, sa vélocité, son ton, et plus subjectivement son accent.